Les signes du burn-out que j’ai ignorés à  32 ans et comment je les ai enfin vus

À 32 ans, je pensais que le stress, c’était « normal ».
Que dormir 5h par nuit, c’était « le prix à payer ».
Et que l’envie de tout lâcher… c’était juste une mauvaise passe.

Puis un matin, je me suis réveillé sans force.
Pas malade. Pas déprimé.
Juste vide.

C’est là que j’ai compris : j’étais en train de vivre un **burn-out** — et je n’avais rien vu venir.

Aujourd’hui, je partage les **7 signes que j’ai ignorés**, pour que vous puissiez les repérer avant qu’il ne soit trop tard.

1. Je dormais mal… mais je croyais que c’était normal

Je mettais 2 heures à m’endormir, réveil toutes les heures, rêves agités.

👉 Mon excuse : * »J’ai trop de choses en tête. »*

✅ La vérité : Le corps et l’esprit sont en alerte permanente.

2. Je n’avais plus d’appétit (ou alors, que pour le sucre)

Un jour, je sautais le déjeuner. Le lendemain, je mangeais 3 barres chocolatées à 16h.

👉 Mon excuse : * »C’est la vie trépidante. »*

✅ La vérité : Le stress perturbe le système digestif et hormonal.

3. J’étais irritable pour rien

Un collègue qui parlait fort → crise de nerfs intérieure.
Un mail en retard → montée de colère.

👉 Mon excuse : * »Je suis fatigué, c’est tout. »*

✅ La vérité : Le réservoir émotionnel est vide.

4. Je remettais tout à demain

Tâches simples, mails courts… et pourtant, je procrastinais.

👉 Mon excuse : * »Je manque de motivation. »*

✅ La vérité : Ce n’est pas de la paresse. C’est de l’épuisement.

5. Je pensais au travail… même quand je ne travaillais pas

Réunions, dossiers, réponses imaginaires… 24h/24.

👉 Mon excuse : * »Je suis passionné. »*

✅ La vérité : Il n’y a plus de frontière entre le boulot et la vie.

6. Je disais oui à tout

Projets supplémentaires, garder les enfants, aider les collègues… sans jamais refuser.

👉 Mon excuse : * »Je veux être utile. »*

✅ La vérité : On compense le sentiment de ne jamais faire assez.

7. J’avais perdu le goût de ce que j’aimais

Le sport, la lecture, les sorties… plus envie. Plus d’énergie.

👉 Mon excuse : * »C’est une phase. »*

✅ La vérité : Le burn-out tue la joie, pas le temps libre.

Et après ? J’ai tout arrêté pendant 3 semaines

Pas de solution miracle.
Juste du repos, des balades, un carnet où poser mes pensées, et une tisane chaque soir.

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Si vous vous reconnaissez dans ces signes…

Ce n’est pas grave.
Vous n’êtes ni faible, ni incompétent.

Mais il est peut-être temps de :
– Écouter votre corps
– Poser une limite
– Demander de l’aide

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